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#Buzz : Au nom des pères

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Amazon.fr – 2 mars 2020
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#Buzz : Au nom des pères Actualité

Epigraphe : Lettre de Martin Vaillagou à son fils Maurice qui lui demande un casque prussien en 1915.

Épigraphe d’Au nom des pères pour illustrer ce lien entre pères et fils, d’une guerre à la suivante : la réponse d’un Poilu à son garçon qui lui demande de lui ramener un casque prussien en 1915 :

« Pour le casque de Prussien, cela n’est pas sûr. Ce n’est pas maintenant le moment d’aller les décoiffer. Il fait trop froid, ils pourraient attraper la grippe. Et puis, mon pauvre Maurice, il faut réfléchir que les Prussiens sont comme nous. Il y a des papas qui sont à la guerre et des petits enfants comme toi qui sont avec leur maman. Vois-tu qu’un garçon prussien écrive à son père la même chose que toi et qu’il lui demande un képi de Français, et si ce papa prussien rapportait un képi de Français à son petit garçon et que ce képi fût celui de ton papa ? Qu’est-ce que tu en penses ? Tu conserveras ma lettre et tu la liras plus tard quand tu seras grand. »

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Qui est Rose, l’héroïne d’Au nom des pères?

Laissez-moi vous parler de Rose, l’héroïne d’Au nom des pères, femme intense et généreuse, déterminée et tenace. 
Rose a 20 ans en 1942, elle vit en zone occupée quand elle décide de franchir clandestinement la ligne de démarcation pour aller retrouver son amant à Marseille. Elle est alors témoin d’un crime. 
Mais Rose a un léger problème : elle ne reconnaît pas les visages. 

« Un jour, ses parents l’ont emmenée voir un médecin des yeux, persuadés qu’elle était myope. Elle a passé des tests et le docteur les a rassurés : sa vue était parfaite. Ils n’ont pas été rassurés du tout. En chuchotant dans son oreille, ses parents ont demandé au médecin de sortir de la pièce et de revenir sans sa blouse. Il a hésité puis s’est prêté au jeu. Il était de retour cinq minutes plus tard en prétendant être le dentiste. Rose a ouvert la bouche. Le docteur est resté muet un long moment, a fini par lui demander si elle se moquait de lui et a conclu qu’elle était un cas très intéressant. Cela n’avait rien à voir avec les yeux, le problème venait de l’intérieur : Rose était dans l’incapacité d’associer une figure à une personne. Il avait déjà entendu parler de cette maladie mais n’avait jamais vu de spécimen vivant. La maladie n’avait pas encore été décrite, ni étudiée et la curiosité autour d’elle fut croissante. Personne ne pouvait imaginer la manière dont Rose percevait le monde. Elle était entourée d’inconnus, constamment obligée de deviner qui est qui. Reconnaître les visages ne peut s’apprendre, chacun est unique et il n’existe aucune technique alternative à cette fonction complexe du cerveau. Le malade est condamné à vivre dans un nouveau monde chaque jour. »

Aujourd’hui, ce trouble porte un nom médical : la prosopagnosie, qui est l’impossibilité d’identifier ou de mémoriser les visages humains.

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Nouveau roman « Au nom des pères »

C’est l’esprit joyeux et la plume légère que je vous annonce, en ce jour d’armistice, la sortie de mon nouveau roman « Au nom des pères », thriller historique se déroulant en Novembre 1942 à Marseille.
— Mademoiselle Rose, vous seule pouvez me dire comment est mort mon fils. Vous y étiez, vous, sur cette place de malheur. Vous pourriez reconnaître les visages.
Rose est déterminée, jeune, tenace, ingénue et jolie. Elle cherche son amant. Et ne reconnaît pas les visages. Elle est témoin d’un crime : un résistant français et un officier allemand se sont battus au couteau. Qui a voulu tuer qui ? Personne ne le sait et Rose a retrouvé son amant mort. 
Face à l’enquête menée à charge par une police sous influence et alors que le bruit des bottes allemandes retentit dans Marseille, Rose va dérouler le fil des événements qui ont conduit à cette bagarre mortelle pour remonter l’histoire des enfants et de leurs pères et révéler un épisode longtemps resté tabou de la Première Guerre mondiale.

Lien vers le roman